Un très intéressant dossier ce mois-ci sur l'importance de l'imaginaire dans les processus d'apprentissages en maternelle, sur le site Léa de Nathan.
Au travers des nombreuses activités de la classe, l'enseignant amorce chez l'enfant des compétences créatives qui vont participer au développement de son imaginaire personnel et,
par interaction, à l'imaginaire collectif. Puisant lui-même dans son imaginaire "'adulte-enfant",
il devient le créateur d'un climat propice aux différents apprentissages à dispenser en regard
du programme de l'Education nationale.
Histoires contées, images à créer, recherches thématiques, chiffres à "ra-compter", théâtralisation, visuels à décoder... la mise en imagination de l'enfant a droit de cité dans toutes les matières ! Et, grâce à ces expériences actives, l'enfant découvre le pouvoir de sa pensée.
A partir de l'existant, il tisse de nouvelles narrations et développe ainsi ses aptitudes à distinguer le réel du virtuel tout, en acquérant des connaissances.
Aussi, en vrai conjugueur de l'imagination et de la raison, le rôle de l'enseignant est capital dans le développement du potentiel de nos adultes en devenir !
Alors, à quand une éducation de l'imaginaire qui laisse la part belle aux expressions subjectives
qui tendent à se réduire comme une peau de chagrin ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire